Washington DC district de Columbia

Washington DC ou le district de Columbia, est le point zéro des 50 États américains. Constitué à rebours, ce point zéro n’a pas précédé la création des États-Unis, mais il en est la capitale fédérale. C’est à partir de là que les coordonnées géographiques des Etats sont définies, et cela peut être aussi le point de départ de votre road-trip dans le pays de l’Oncle Sam. N’ayez pas peur de vous rendre à la ville présidentielle lors de votre voyage aux États-Unis, cela ne déconcentrera pas le chef de l’État dans son œuvre.

Historique de Washington

Washington DC est à distinguer de l’État de Washington, situé à quelques milliers de kilomètres. C’est une ville indépendante, ne faisant pas partie d’un des 50 Etats américains. Elle fut créée de toutes pièces, dans le but d’être ce qu’elle est aujourd’hui, la capitale fédérale de la planète US. Tout d’abord, c’est en 1791 et après la Guerre d’Indépendance que l’idée d’une capitale fédérant les Etats-Unis fut signée. On lui donna le nom de Washington en mémoire du premier président américain. Par la suite, c’est à l’ingénieur franco-américain, Pierre Charles L’Enfant, que la conception des plans de la ville fut confiée. Après avoir été la cible des Danois et des Canadiens, Washington DC renaît de ses cendres. Elle compte près de 6 000 000 d’habitants dont plus de la moitié sont d’origine afro-américaine.

Organisation de la ville

La ville abrite les plus grandes institutions politiques et gouvernementales, comme la Maison Blanche, le Capitole ou encore le siège du FBI.  Par ailleurs, un grand nombre de musées (Spy Museum, National Air and Space Museum), de mémoriaux nationaux (Jefferson Memorial, Franklin Delano Roosevelt Memorial), de parcs (Theodore Roosevelt Island Memorial Park) et de centres culturels (John F. Kennedy Center of the Performing Arts). Par ailleurs, la capitale fédérale se vante d’abriter la Bibliothèque du Congrès qui est la plus grande bibliothèque du monde. Ce qui fait donc beaucoup de visites intéressantes pour que votre voyage aux États-Unis passe par Washington. Pour la petite anecdote, le point zéro des Etats-Unis interdit formellement la construction de gratte-ciels sur son sol.

Le Pont de Brooklyn

Célébré par les frères Lumières dans un film éponyme en 1896, ayant vu la mort de Godzilla dans l’œuvre de Rolland Emmerich en 1998, mais ayant aussi été le théâtre de décès réels, le Pont de Brooklyn, dans l’Etat de New York, est l’une des étapes clés de tout voyage à New York.

Brooklyn Bridge : symboles et tragédies

L’édification du Pont de Brooklyn est autant un projet ambitieux et majestueux qu’une entreprise émaillée d’évènement tragiques.

L’histoire de ce monument comporte, en effet, quelques épisodes douloureux qui contribuent d’ailleurs à en faire un lieu si particulier.

14 années de travaux ont été nécessaires pour achever le Brooklyn Bridge, l’un des fleurons de New York et des Etats-Unis. Finalement, son inauguration a eu lieu en 1883 et son ouverture à la circulation s’est faite le 24 mai de cette année. Mais entretemps, l’architecte en chef de ce projet, John Augustus Roebling, est décédé de manière accidentelle sur le chantier, et ce, dès le début des travaux. Son fils et l’épouse de cette dernière ont repris le flambeau.

Par la suite, la construction de ce pont suspendu, l’un des plus anciens du pays, aura coûté la vie à 27 ouvriers. Des morts parmi les usagers ont aussi été à déplorer, notamment les 12 victimes d’une bousculade survenue quelques jours à peine après son inauguration.

Quoi qu’il en soit, cet ouvrage de 1825 mètres de long a été très bien accueilli par les New-yorkais, car il leur évitait de prendre systématiquement le ferry pour aller de Brooklyn à Manhattan ou dans l’autre sens.

Une étape incontournable de votre road trip new-yorkais

Plus de 130 ans après sa construction, le Pont de Brooklyn se tient toujours aussi majestueusement au-dessus de l’East River et attire un très grand nombre de touristes, outre, bien entendu, les Américains qui le traversent au quotidien.

L’ouvrage, reposant sur deux énormes piliers et maintenu par des câbles, est constitué de deux niveaux ; l’un destiné aux véhicules motorisés et l’autre pour les piétons et cyclistes. Pour profiter pleinement de la vue qu’il offre, notamment sur l’arrondissement de Manhattan et sur l’East River, il est préférable d’en faire la traversée à pied ou à vélo. La beauté de la ville et le passage des embarcations de toutes tailles empruntant le cours d’eau sont des spectacles qui valent franchement le détour à l’occasion de votre road trip à New York.

Parc National Theodore Roosevelt au Dakota du Nord

Le Parc National Théodore Roosevelt revêt une dimension historique importante lors de votre voyage aux États-Unis. En effet, c’est grâce au président américain, Théodore Roosevelt, que ce territoire gigantesque de l’état du Dakota du Nord est ce qu’il est aujourd’hui. C’est d’abord un immense étalage de reliefs impressionnants, dans lequel faune et flore prospèrent. Les amoureux de la nature en road trip ou en circuit en Amérique ne pourront que s’extasier à se promener entre les canyons et autres reliefs d’une beauté à couper le souffle.

Historique

Le Parc National Théodore Roosevelt est vieux de 65 millions d’années. Il ne détient son nom et son statut actuel que depuis 1978. C’est en 1884 que l’histoire de ce parc prit son tournant avec la mort de la femme et de la mère de Théodore Roosevelt. A cette époque, le futur président s’était replié dans son ranch situé dans le Dakota du Nord. Afin de se remettre de cette perte douloureuse. Il passa quelques années dans ce qu’on appelle les badlands. Il y éleva des bêtes et se consola de sa tragédie. En 1901, Theodore Roosevelt fut élu président. Un président dont la politique et l’action seront fortement imprégnées de son parcours au ranch. Puis, c’est en 1978 que le parc devint un parc national. Il fut ensuite nommé en hommage au président.

Faune et reliefs

Composé de trois divisions majeures (South Unit, le ranch Elkhorn et North Unit), le parc a une superficie de 285km². Le Parc National Théodore Roosevelt est un fabuleux étalage de formations rocheuses ; collines, plaines, dômes et canyons. Les badlands du Dakota du Nord ont quelque chose d’étrangement attirant lors d’un voyage aux États-Unis. Après s’être retrouvés en voie de disparition, les bisons y prospèrent, aux côtés des coyotes, des chiens de prairie et des chevaux sauvages. D’ailleurs, et grâce à l’initiative de Théodore Roosevelt, les parcs et forêts des États-Unis sont aujourd’hui sous la protection de l’US Forest Service.

Le Dakota du Sud

Bordé à l’ouest par le Wyoming et le Montana, au nord par le Dakota du Nord, à l’est par le Minnesota et l’Iowa et au sud par le Nebraska, le Dakota du Sud est un Etat du Midwest. Il est divisé en deux par le fleuve. Le Missouri coule du nord vers le sud : à l’est du fleuve se trouvent la plupart des habitants et les exploitations agricoles. A l’ouest prédominent l’élevage et le tourisme.

La conquête de l’Ouest et la ruée vers l’or a profondément marqué l’histoire du Dakota du Sud. On en trouve toujours les traces dans différentes villes où les bâtiments d’époque sont encore présents.

Si vous n’avez jamais songé à faire un road trip dans le Dakota du Sud, ce qui va suivre pourrait vous faire changer d’avis !

Visite du mémorial du Mont Rushmore

Le mémorial national du Mont Rushmore (Mount Rushmore National Memorial en anglais) est l’un des monuments les plus connus des Etats-Unis.  Construite entre 1927 et 1941. Il s’agit d’une structure impressionnante par la taille, sculptée dans le granit par Gutzon Borglum et son fils, Lincoln Borglum. On peut y voir les visages de 4 présidents américains, admirablement sculptés à flanc de montagne : George Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln.

La structure a ensuite inspiré la création du Crazy Horse Memorial : cette gravure haute de 172 mètres rend hommage au célèbre chef indien !

Promenade dans les Badlands

S’étendant sur 98 700 hectares, les Badlands regorgent de  paysages  étonnants. Il s’agit d’un parc national peu connu, mais qui vaut vraiment le détour. Bordé par la White River au sud et par la rivière Cheyenne au nord. Il a été formé au cours des âges par des dépôts essentiellement sédimentaires (sable, limon, argile) peu solidifiés par cimentation.

On peut y voir d’immenses roches à l’aspect quasi lunaire, situées au milieu des grandes plaines. Le contraste est tout à fait étonnant, d’autant que les roches présentent d’incroyables dégradations de couleurs !

Monument Valley

Plongez au cœur de la légende et visitez le Monument Valley à la frontière de l’Utah et de l’Arizona, en pleine Navajo Nation. Il est,avec le Grand Canyon, l’image iconique de l’Ouest américain. C’est en effet l’un des phénomènes les plus extraordinaires des Etats-Unis, caractérisé par un ensemble de vastes buttes de grès, où les pitons de roche rouge atteignent jusqu’à 300 mètres de hauteur.

Un territoire sacré

La vallée est gérée par les Indiens « Navajos », peuple d’éleveurs et de chasseurs, qui préservent ce site sacré, en domestiquant une terre éminemment aride. Dans leur langue, Monument Valley, dite, « Tsé Bii’ Ndzisgaii », signifie la vallée des roches. Les Navajos y vivent grâce à l’agriculture, l’élevage de moutons, mais aussi la vente d’objets artisanaux et le tourisme. Ils habitent aujourd’hui encore, à la manière de leurs ancêtres, dans des « hogans ».

Une visite mythique

Le site est un hallucinant chapelet de monolithes, tables et buttes se dressent contre un ciel d’un bleu pur. Ce décor en trompe-l’œil est une « plaine des colosses » dont la vue coupe le souffle. La lumière y orchestre une magnifique chorégraphie. Le lieu peut se visiter en voiture, à cheval ouse découvrir du ciel en montgolfière.

Dans la vallée, les formations exhibent d’abord, dans une allégorie géologique, leurs singuliers visages. Une mesa accolée d’une haute cheminée de grès devient au regard une gigantesque manique, c’est « Mitten Rock ». Ensuite, plus loin, trois pitons élancés prennent vie et l’on salue les « Three Sisters »vénérées des Navajos. Des arches graciles baptisées « Pleine Lune » ou « Lune de Miel », sont des fenêtres ouvertes sur le grand univers si l’on en croit la sagesse des chamanes. Au fil de la découverte, les roches dévoilent leurs noms et leurs formes : la Diligence, le Roi sur son Trône, l’Ours et le Lièvre, etc.

Un décor légendaire

C’est évidement grâce au western « La Chevauchée Fantastique » tourné par John Ford en 1938, où un jeune acteur du nom de John Wayne, y faisait ses débuts, que le grand public a découvert ces formes étranges qui depuis ont servi de toile de fond à tant de publicités et de films. Pour lui rendre hommage, un promontoire au sommet d’une falaise porte son nom. « John Ford Point » offre un panorama grandiose sur « The Mittens » et « Merrick Butte ».

Monument Valley est la quintessence du voyage dans l’Ouest des Etats-Unis. Elle de ce fait une étape incontournable lors de votre Road Trip américain.

La Louisiane

La Louisiane est sans doute l’Etat américain que les Francophones affectionnent le plus. Située sur les bords du Mississipi, la Nouvelle-Orléans est sa ville mythique où est né le jazz. Cet état du sud n’est pas tout à fait américain, il est aussi français, espagnol, africain, haïtien créole… Il célèbre le métissage à tous les coins de rue, dans son architecture, dans sa population, dans sa musique, dans sa gastronomie. Visiter la Louisiane, c’est un voyage à part, dans une région à part !

Un Etat cosmopolite

La région fut conquise par les Français à la fin du XVIIe siècle et devint ensuite espagnole pendant la deuxième partie du XVIIIe siècle, avant d’être cédée aux Américains en 1803. Mais la Louisiane est aussi créole, puisqu’elle a de tout temps accueilli une population venue des proches Caraïbes. Un joyeux cosmopolitisme qui donne tout son caractère à cet État bien à part aux États-Unis.

Le pays Cajun

Célèbre pour sa musique, ses bayous et sa cuisine. Le pays cajun se divise en trois grandes régions autour de Lafayette, capitale de la francophonie louisianaise. C’est là, dans un extraordinaire enchevêtrement de marécages, que s’établirent les premiers cajuns. Point d’orgue d’un voyage en Louisiane, le pays cajun est l’occasion de découvrir la chaleureuse hospitalité de ces Américains francophones de s’initier au pas de deux, de déguster des écrevisses sans retenue, de partir à la rencontre des alligators des marais et surtout de « Laisser les bons temps rouler », comme le conseille la devise cajun.

Sur La route des Plantations

Désignant la route qui borde le Mississipi et rejoint Bâton Rouge, la capitale administrative de la Louisiane, la route des Plantations est en réalité la route le long de laquelle se situaient, à l’âge d’or de l’esclavage, plus de 400 domaines. Elle est désormais toujours empruntable. Découvrez la culture et l’histoire de la Louisiane au temps de l’esclavage à travers les quelques propriétés toujours debout et parfaitement mises en valeur. Elles sont pour la plupart ouvertes au public. La route sillonne la campagne louisianaise. Elle est bordée de champs de coton et de canne à sucre de part et d’autre, à perte de vue. Une bien jolie balade, en outre instructive, en perspective.

Pour le bonheur de vos papilles

La Louisiane est connue pour être le berceau du jazz, où les sandwichs « po’boy » sont bien garnis et où se tiennent les plus grandes fêtes de Mardi gras. La liste des attractions moins connues de cet État marécageux du Sud est riche en délicieuses nouveautés pour le voyageur. Vous pouvez savourer un bol fumant de gombo de fruits de mer, des beignets faits maison ou un verre de daiquiri. C’est la boisson typique de La Nouvelle-Orléans. L’État a pensé à tout et les non-initiés pourront découvrir les saveurs créoles et cadiennes caractéristiques. Vous découvrirez l’histoire qu’elles renferment en suivant les Culinary Trails, les circuits culinaires qui sillonnent la Louisiane.

Columbus dans l’Ohio

Capitale de l’État de l’Ohio, Columbus est située à la confluence des deux rivières Scioto et Olentangy. Elle s’étend sur une superficie de 580 kilomètres carrés et jouit d’un cadre naturel remarquable.

Nommée ainsi en l’honneur de Christophe Colomb, la ville de Columbus a su garder son cachet d’antan tout en évoluant avec son époque. Elle est reconnue pour sa cuisine de rue, ses festivals culturels et sa scène artistique, en plus de l’une des plus grandes universités d’État.

Avec son climat continental, Columbus connaît des étés très chauds et secs, alors que ses hivers sont assez rigoureux avec une pluviométrie importante. Pour cette raison, il est préférable de programmer votre road trip au printemps, saison moins torride et tout aussi sèche que l’été.

Pendant votre break à Columbus, vous devez absolument passer par  :

Le quartier des Brasseries

L’histoire du quartier des Brasseries remonte à presque 200 ans. Tout a commencé lorsqu’un émigré Allemand y a ouvert la première brasserie en 1836. Au sommet de son existence, 5 brasseries étaient situées dans ce quartier. Au fil du temps, une consolidation des brasseries a eu lieu. Lors de l’arrivée de l’ère de la Prohibition en 1920, le marché a pris un sérieux coup. De ce fait, la popularité du quartier a décru et il est devenu un quartier d’industries et de hangars.

Plus récemment, la zone a connu un redéveloppement majeur grâce à l’ouverture de nombreux restaurants, bars et épiceries. Les amateurs de vin vont adorer Chai Via Vecchia et Exploitation viticole The Winery at Otter Creek. Passez du temps à discuter avec les vignerons, profitez d’une dégustation, puis ramenez un joli souvenir.

Huntington Park

Huntington Park est un stade de baseball situé au cœur du centre-ville de Columbus. Inauguré en 2009, Huntington Park est un stade de baseball de ligue mineure mais dernier cri. L’année de son ouverture, il fut nommé stade de baseball de l’année parBaseballparks.com, dépassant le Yankee Stadium, l’un des plus célèbres stades de ligue majeure.

Un voyage à Denver au Colorado

Denver est la capitale du mythique état du Colorado. Elle est située entre les Rocheuses, dites Rocky Mountains et les Grandes Plaines, aux États-Unis. C’est à cette situation en plein milieu de la nature qu’elle doit son surnom de « Ville reine des plaines ». Et à son altitude d’un mile au-dessus du niveau de la mer qu’elle doit son autre surnom : « Mile-High City ».

Un centre-ville atypique et doublement attrayant.

Le centre-ville de District de Denver est très atypique, puisqu’il n’est pas un, mais en fait deux. Un centre très moderne, érigé dans les années 80, qui est le quartier d’affaires Downtown. Un autre plus historique et plus ancien appelé Lower Downtown, ou plus communément LoDo. Ce dernier est construit autour de la gare de l’Union. Il se situe entre la place Larimer et les quais de la rivière South Platte. La limite est mince entre les deux noyaux, et c’est l’architecture des bâtiments qui la laisse deviner. LoDo comptant un nombre impressionnant de bâtiments de style victorien. C’est en plus un quartier très vivant, lieu de sortie des fameux Colorado Rockies. Les supporters se retrouvent dans les nombreux pubs et restaurants. La rue Larimer est incontournable pour les adeptes du shopping, en quête de trouvailles inédites et originales. LoDo est un haut-lieu culturel puisqu’il héberge le musée d’art moderne de Denver, le musée de Denver pour enfants, l’Aquarium de Downtown et ensuite le Parc aquatique des Jardins d’Elitch. L’association LoDo District veille à la sauvegarde de ce quartier historique. Elle propose donc des visites guidées à travers les rues qui le composent.

Une ville Art Trendy

À Denver, l’art est partout. D’abord les multiples musées, dont certains à la forme bizarre comme le Denver Art Museum. On croise ensuite statues et œuvres diverses un peu partout en se baladant dans les rues comme un immense ours bleu, mascotte de la Mile High City. La ville possède aussi le second Performing Art Center du pays, après celui de New York, permettant d’assister à des ballets, spectacles, comédies musicales et autres.

Avec ses 300 jours de soleil et sa scène culturelle florissante, la liste des choses à faire à Denver est proportionnelle à son altitude. Donc, pour profiter au mieux de votre voyage aux États-unis, ne manquez pas les attractions naturelles et culturelles de l’une des villes favorites d’Amérique lors de votre road trip.

Le parc National de Yosemite

Situé au cœur de la Californie, l’emblématique parc National de Yosemite s’étend sur de 3079 km². Le parc offre une merveilleuse occasion de découvrir une beauté et une biodiversité de faune et de flore si exceptionnelles qu’il a été classé au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1984. Il est le premier site protégé au monde et le deuxième plus ancien parc de l’histoire américaine après Yellowstone et le troisième en dimensions de la Californie.

Le parc est l’un des sites naturels les plus visités des Etats-Unis, avec plus de 3 millions et demi de visiteurs par an. Il présente des caractéristiques géologiques uniques au monde :  plusieurs dizaines de chutes d’eau vertigineuses, séquoias géants, dômes polis, falaises à pic en granit et autres.

Il existe quatre entrées principales qui permettent de se rendre au parc par la route. Deux entrées à l’ouest, une entrée au sud et une entrée à l’est du parc. Il est plus facile de se déplacer dans le parc grâce au Yosemite Area Regional Transportation System qui est un service de transport public et gratuit permettant d’y circuler sans voiture.

Destination de prédilection pour pratiquer diverses activités

Le parc possède un attrait différent à chaque saison. L’hiver transforme le parc en un paradis enneigé parfait pour le ski de fond et les balades en raquettes. L’automne, les arbres se parent de jolies couleurs et les foules se font moins présentes. Le printemps offre d’abondantes chutes d’eau, tandis que l’été permet de s’adonner à toutes sortes d’activités extérieures.

En effet, Yosemite National Park est une destination de prédilection pour les adeptes du trekking, de l’escalade et du ski. Il est possible aussi de se baigner, circuler à vélo, explorer les 1280 km de sentiers de randonnées et pratiquer l’alpinisme, les sports d’eaux vives, le canyoning et la pêche. Les esprits contemplatifs auront la chance d’observer les étoiles, au plus près de la voûte céleste.

Parmi les incontournables sites à voir dans le parc , il y a :

  • El Capitan
  • Glacier Point
  • Half Dome
  • Majestic Yosemite Dining Hall
  • Rafting sur le Merced River
  • Tunnel View sur Wawona Road
  • Tuolumne Meadows
  • Yosemite Falls

Hollywood Boulevard

Hollywood Walk of Fame

Partir en voyage aux États-Unis, c’est un peu comme fouler du pied les sentiers parcourus par nos idoles d’outre-Atlantique. Quoi de plus caricatural et de plus proche de cette image que le Walk of Fame. D’abord, ce parcours tout en étoiles est une grande attraction touristique. Situé dans les quartiers de Hollywood, le Walk of Fame rend ensuite hommage aux plus grands artistes. Quand vous partirez en road-trip à Los Angeles, prenez ce sentier. Cela vous fera un excellent souvenir.

Historique

C’est en 1953 qu’E. M. Stuart a eu l’idée de créer le Walk of Fame. L’intention de ce projet était d’abord de rendre gloire et hommage aux personnalités les plus notoires dans le monde. Subventionné par la Hollywood Chamber of Commerce, le concept du Walk of Fame est finalisé en 1955. La conception du carreau a, quant à elle, été décidée en 1956. Dès lors, plus de 1550 personnalités ont été sélectionnées pour être honorées sur le Hollywood Walk of Fame. Ces personnalités se répertoriaient dans quatre domaines fondamentaux : le cinéma, la télévision, la musique et la radio.

Durant les années 60 et 70, le Walk of Fame a été quelque peu délaissé à cause du contexte sociopolitique. Le Walk a ensuite été repris en main et a recommencé à honorer d’autres célébrités. En 1978, le Hollywood Walk of Fame devient un monument historique et culturel de Los Angeles.

Le sentier des célébrités

Situé à Hollywood Boulevard et à Vine Street à Los Angeles, dans l’Etat de Californie, le Walk of Fame rassemble 2500 étoiles et s’étend sur plus de deux kilomètres. Il est formé de dalles étoilées, chacun des carrés de 80 cm exhibant une étoile et portant le nom de la personnalité qu’elle honore. La catégorie à laquelle appartient chaque célébrité est représentée par un symbole graphique. La première célébrité à avoir été photographiée avec son étoile est Joanne Woodward, bien qu’elle ne soit pas la première à avoir eu une étoile au Walk of Fame. Les personnalités sont d’abord nominées puis sélectionnées par la Hollywood Chamber of Commerce Walk of Fame Selection Committee. Une cérémonie est organisée à chaque sélection en présence de la vedette en question.

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